Où qu'il était...

A Sceaux.

D'ailleurs il pleuvait à seaux...

Dans l'entreprise pour lequel je travaille dûrement, il y avait un Grozévènement "Venez, m'a t'on dit... ça nous ferait vraiment plaisir... allez venez à votre rythme !"

Alors je suis venu à mon rythme et à mes conditions une journée pour monter à la capitale, une journée pour me reposer une journée de présence au sein de l'entreprise et une journée pour descendre à Bordeaux. J'ai été d'une inutilité absolue n'ai rien foutu et suis totalement fatigué... c'est comme ça.

Sincèrement, j'étais heureux de me montrer vivant auprès de collègues et autres contacts professionnels... et au bout de deux heures une seule envie rentrer à l'hotel être seul ne plus parler. Etonnant le regard de l'autre sur ma maigreur, les "ça va" les "eh ben t'as bonne mine..." ça fait drôle, il faut l'accepter je ne sais pas si on m'a cru lorsque j'ai dit que j'étais guéri... j'ai croisé des regards pleins de pitié ça fait bizarre.

Bon, je suis à la maison et je vais tenter d'aller faire un gros dodo.

Comments

[Liliane]

Bon, au moins ils ont vu que t'étais pas prêt :)

[Cristophe]

Non tu n'es pas guéri de la vie. Elle est bien implantée en toi.

[Bleck]

@ - A TOUTES.



Vous avez raison chacune avec vos mots, je retrouve dans vos phrases ce que je pense des uns des autres et de moi.



J'ai passé une nuit royale et ce midi j'ai une pêche... normale.



Vous embrasse.

[Pierrot Bâton]

Et puis des fois, faut pas oublier que là-dedans, y' en a de vrais contents, qui sont sincères quand ils te disent "j' suis content de te revoir", "t'as bonne mine" (peut-être parce que quelques kgs en moins : ça te va bien sauf si t' étais déjà du genre "brindille...").

Allez, mon gars Bleck! Profite de cette convalescence, du temps qu' elle te donne pour te reposer, lire, aimer, glander...

[Hélène]

Pakita et Jeanne ont trouvé les mots justes, c'est tout à fait ça...

Prends tout ton temps, le reste suivra...